Par contraste avec l’Approche Neurocognitive et Comportementale (ANC), qui explore l’axe « vertical » de notre individu (les « tuyaux neuronaux » de nos contenants et de notre identité) …
… la Bio-Systémique (BS) (selon l’IME) se charge d’explorer l’axe horizontal, c’est-à-dire de décoder et gérer les flux (ou contenus) de nos échanges avec le monde ou les autres, selon des lois universelles (= communes à tous les cerveaux humains). Elle complète bien entendu étroitement la dimension psychologique (= l’ANC dans notre modèle) et augmente nos capacités de résilience, notamment en contexte complexe, instable, frustrant ou agressif… (plus qu’elle ne s’y oppose bien entendu, on parle en science de dimensions orthogonales).
La BS peut s’utiliser en thérapie/développement personnel, tant individuel que familial, en coaching autant qu’en management, en formation comme en conseil, en stratégie ou en marketing…
Si vous envisagez de l’appliquer en contexte professionnel, elle peut se révéler souvent plus facile à « vendre » que le Développement Personnel (plus individualisé et peut ainsi paraître plus complexe à gérer – one to one management/pédagogie – voire plus intrusif / vie personnelle) car elle s’appuie sur des leviers universels donc totalement anonymes donc plus intuitifs/partagés… Elle demande ainsi moins de théorie pour s’expliquer/s’appliquer (même s’il en existe beaucoup et de très solides pour la justifier et l’affiner).
Elle peut aussi préparer au développement personnel ou, à l’inverse, aider à dénouer des situations relationnelles chez des clients/patients pris en charge en Développement Personnel ou psychothérapie, pour lesquels des difficultés persistent malgré l’amélioration des contenants…
La BS comporte trois sous-dimensions :
BSI : notre résilience dépend certes de nos contenants… Mais elle est aussi affaire de stratégie !
La BSI nous montre comment nous pouvons renforcer sinon reconstruire le socle de notre façon de « commercer » avec les autres, augmenter notre robustesse sans nous emmurer, sans compromettre notre « relation à nous-même ». En miroir, lorsque nous éduquons ou manageons, il permet de concevoir ce que l’on peut nommer le « management de l’intime », étonnamment sans intrusion aucune et de façon tout à fait générique (en contexte personnel ou professionnel) :
- BS1 (Distanciel ) : Les enjeux et leviers comparés de la confiance en soi et en les autres et de l’estime de soi et des autres.
- BS2 (Distanciel) : Les enjeux et leviers de la tendresse pour soi et les autres
- BS3 (Distanciel) : Les enjeux et leviers du romantisme en tant qu’idéal partagé puis intégration de l’ensemble en situation relationnelle ou managériale.
BSR : on ne change pas facilement les autres… (ni parfois soi-même d’ailleurs). Mais on peut facilement changer un système relationnel !
Un système relationnel ne perdure que si chacun (ou certains de ses contenants) y trouve son (leur) compte : gains et pertes pour toutes les parties prenantes, sachant que la dynamique relationnelle (qui initie versus qui subit) nous en dit + que les discours. Comment peut-on objectiver cela rapidement/visuellement, même avec des interactions/acteurs anonymes :
- BS4 (Distanciel) : Les enjeux et leviers du « commerce amoureux » (au sens très large des « gains et pertes subjectifs de toute relation, amoureuse… ou pas »????)
- BS5 (Distanciel) : Le management de l’initiative, constructive ou pas…
- BS6 (Distanciel) : Les enjeux et leviers de l’autoroute relationnelle (puisque tout ce que nous percevons du monde est nous, autant ne parler qu’en son nom et écouter/observer/accepter l’autre : chacun gère sa bande d’autoroute de soi vers l’autre)
BSO : (Re) on ne change pas facilement les autres… Ni (même) soi-même.
Mais on peut facilement changer un système organisationnel !
Au-delà des BPR (Boucle des Pouvoirs & Responsabilités), BCI (Boucle de la Circulation de l’Information) et CF/DO (Cœur de Fonction/Délégation Optimisée), sous leurs aspects structurels (fiche de poste…) et fonctionnels (managériaux…), nous évoquerons aussi au fil des cas pratiques ce qui peut impacter de façon souvent majeure nos comportements, souvent à notre insu (moins par manipulation que par ignorance), mais de façon tout à fait logique et donc conscientisable et aussi pilotable de façon transparente. C’est de l’ergonomie cognitive ou facilitation du changement, le sien ou celui des autres. Contrairement à ce que nous pourrions craindre, c’est d’abord une base indispensable à partager pour « aligner », mettre en cohérence intentions et facilitations, court et long terme… :
- BS7 (Distanciel) : Les enjeux et leviers-clés des incitateurs organisationnels (indicateurs/attracteurs…)
- BS8 (Distanciel) : Les enjeux et leviers-clés des incitateurs fonctionnels (nudges…)BS6 (Distanciel : samedi 19 juin, de 9h à 13h) : Les enjeux et leviers de l’autoroute relationnelle (puisque tout ce que nous percevons du monde est nous, autant ne parler qu’en son nom et écouter/observer/accepter l’autre : chacun gère sa bande d’autoroute de soi vers l’autre)
- BS9 (Distanciel) : Retours d’Expériences (REX ou RETEX) et entreprise apprenante, internaliser les externalités : comment produire des écosystèmes forts et résilients (économique, social-sociétal et écologique… ?
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